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Belleisle

Commotion cérébrale et traumatisme crânien à Ottawa et à Gatineau

Évaluation neuropsychologique et psychologique des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau

Après une commotion cérébrale ou un traumatisme craniocérébral, il est fréquent d’avoir l’impression de ne plus être tout à fait soi-même. Maux de tête, fatigue, difficultés de concentration, impression de « penser plus lentement », irritabilité, fluctuations de l’humeur et difficulté à suivre le rythme à l’école, au travail ou dans la vie quotidienne peuvent persister, même lorsque les examens d’imagerie sont normaux. Pour de nombreuses personnes à Ottawa et à Gatineau, le plus difficile est alors de ne pas savoir jusqu’à quel point ces changements sont liés à la blessure, s’ils sont temporaires ou plus durables, et quoi faire concrètement pour aller mieux.


Une évaluation neuropsychologique et psychologique après commotion cérébrale ou traumatisme craniocérébral permet d’apporter des réponses de façon structurée. Les psychologues et neuropsychologues dont le champ de pratique inclut les commotions cérébrales, les traumatismes craniocérébraux légers (TCCL), les traumatismes modérés ou graves et les lésions cérébrales acquises utilisent des tests cognitifs standardisés et des entretiens cliniques détaillés pour clarifier comment l’événement a affecté le fonctionnement intellectuel, les émotions et la vie quotidienne. L’objectif n’est pas uniquement de confirmer qu’une commotion cérébrale a eu lieu, mais de comprendre son impact, de distinguer les effets de la blessure d’autres facteurs et de proposer des recommandations concrètes pour le rétablissement, le retour à l’école, au travail ou au sport, ainsi que pour la planification à plus long terme.
 

Chez les enfants, les adolescents et les adultes de la région Ottawa–Gatineau, ce type d’évaluation peut être particulièrement utile lorsque les symptômes persistent au-delà des premières semaines, lorsqu’un « syndrome post-commotionnel » est évoqué, ou lorsqu’il existe des préoccupations au sujet des effets cumulatifs de plusieurs commotions cérébrales.

Pourquoi une évaluation après commotion cérébrale ou traumatisme craniocérébral est importante

La plupart des commotions cérébrales évoluent favorablement avec le temps, du repos relatif et un retour graduel aux activités. Toutefois, le rétablissement n’a pas la même apparence d’une personne à l’autre. Certaines constatent que la concentration, la mémoire ou l’endurance cognitive demeurent limitées bien après la phase aiguë. D’autres vivent un mélange de maux de tête, de vertiges, de troubles du sommeil, d’hypersensibilité au bruit ou à la lumière, et de changements émotionnels qui nuisent à l’école, au travail ou à la vie familiale. Dans les cas de traumatisme craniocérébral modéré ou grave, les changements au niveau du raisonnement, du comportement, de la personnalité ou des habiletés sociales peuvent être plus évidents et durables.

De l’extérieur, ces situations sont souvent difficiles à interpréter. Les changements cognitifs ou émotionnels après une commotion cérébrale ou une lésion cérébrale peuvent découler directement de l’impact sur le cerveau, mais ils peuvent aussi être influencés par la douleur, les troubles du sommeil, la médication, le stress, l’anxiété, la dépression, des difficultés d’apprentissage préexistantes ou un trouble de l’attention déjà présent. Deux personnes ayant subi des blessures semblables peuvent donc se présenter de manière très différente selon leur histoire et leur environnement.

Une évaluation neuropsychologique et psychologique des commotions cérébrales et des traumatismes craniocérébraux à Ottawa ou à Gatineau est l’un des moyens les plus fiables de démêler ces différents facteurs. En examinant de façon détaillée certaines capacités cognitives (attention, mémoire, vitesse de traitement, fonctions exécutives), en documentant les changements émotionnels et comportementaux, et en plaçant le tout dans le contexte de l’histoire médicale, scolaire et professionnelle de la personne, l’évaluation aide à :

  • préciser la nature et l’ampleur des difficultés liées à la commotion cérébrale ou à la lésion cérébrale ;
     

  • identifier d’autres éléments (anxiété, dépression, douleur, troubles du sommeil) qui peuvent prolonger ou amplifier les symptômes ;
     

  • éclairer les décisions concernant le retour à l’école, au travail, aux activités physiques ou au sport ;
     

  • guider la mise en place de stratégies de réadaptation et d’accommodements individualisés.
     

Pour les familles d’Ottawa et de Gatineau, cela peut faire la différence entre un rétablissement guidé par essais et erreurs et un plan plus structuré, fondé sur une compréhension précise du fonctionnement.

Brain Monitoring Procedure

Évaluation neuropsychologique après commotion cérébrale ou traumatisme craniocérébral

L’évaluation neuropsychologique se concentre sur le fonctionnement du cerveau dans la vie de tous les jours après une commotion cérébrale, un traumatisme craniocérébral léger (TCCL) ou une lésion cérébrale plus importante. Plutôt que de s’en tenir uniquement à une liste de symptômes, le neuropsychologue utilise des tests standardisés pour évaluer des domaines cognitifs fréquemment touchés par ce type de blessure.

Selon l’âge et la situation de la personne évaluée, cela peut inclure :

  • l’attention soutenue, partagée et la capacité de résister aux distractions ;
     

  • la vitesse de traitement de l’information et l’efficacité mentale ;
     

  • l’apprentissage et la mémoire pour des informations verbales et visuelles ;
     

  • les habiletés langagières, incluant la recherche de mots et la compréhension ;
     

  • les capacités visuospatiales, par exemple la compréhension de plans ou la copie de figures complexes ;
     

  • les fonctions exécutives, comme la planification, l’organisation, la résolution de problèmes et la flexibilité cognitive.
     

Ces tâches peuvent ressembler à des casse-têtes ou à des défis intellectuels, mais chacune a été conçue pour mettre en évidence des profils précis de forces et de faiblesses. Pour les personnes de la région Ottawa–Gatineau, les résultats sont interprétés à l’aide de normes adaptées à l’âge, ce qui permet de déterminer si la performance se situe dans la plage attendue pour quelqu’un d’un profil similaire, ou s’il existe des difficultés cognitives mesurables.

Ce profil est particulièrement utile lorsque :

  • les symptômes persistent plus longtemps que prévu ;
     

  • plusieurs commotions cérébrales ou impacts répétés à la tête se sont accumulés ;
     

  • il existe une incertitude quant à la part des difficultés attribuable à la blessure par rapport à l’anxiété, à la dépression ou à d’autres facteurs ;
     

  • une documentation détaillée est nécessaire pour des accommodements scolaires, des ajustements au travail ou un plan de réadaptation.
     

Comme les examens d’imagerie (CT-scan, IRM) sont souvent normaux après une commotion cérébrale, une évaluation neuropsychologique fournit souvent le portrait le plus clair de la manière dont la blessure affecte la pensée, l’apprentissage et le fonctionnement au quotidien.

Évaluation psychologique et facteurs émotionnels dans le rétablissement après commotion cérébrale

Le rétablissement après une commotion cérébrale ou un traumatisme craniocérébral n’est pas seulement neurologique ; il est aussi émotionnel. Les changements dans la capacité à se concentrer, dans le niveau d’énergie, dans le confort physique ou dans la capacité à assumer ses rôles (par exemple réduire ou interrompre la participation à l’école, au sport ou au travail) peuvent entraîner de la frustration, de la tristesse, de l’anxiété et des inquiétudes quant à l’avenir. Chez les enfants et les adolescents, l’absence prolongée de l’école ou des activités sportives peut affecter l’identité et les relations sociales. Chez les adultes, une baisse de productivité ou d’autonomie peut influencer l’estime de soi et la dynamique familiale.

L’évaluation psychologique explore ces dimensions. Elle examine l’humeur, l’anxiété, le stress, les stratégies d’adaptation et la présence de conditions de santé mentale antérieures qui peuvent colorer l’expérience des symptômes. Par exemple :

  • l’anxiété peut amplifier les sensations physiques et mener à une hypervigilance par rapport aux symptômes ;
     

  • la dépression peut ralentir la pensée et réduire la motivation, rendant plus difficile la distinction entre fatigue cognitive et fatigue émotionnelle ;
     

  • le stress lié à l’école, au travail, à des enjeux financiers ou à une procédure d’indemnisation peut compliquer le processus de rétablissement.
     

Dans les évaluations des commotions cérébrales et des traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau, la composante psychologique comprend habituellement un entretien clinique détaillé et, lorsque pertinent, des questionnaires standardisés sur la dépression, l’anxiété, les symptômes de stress post-traumatique et la détresse générale. En combinant ces informations au profil neuropsychologique, le clinicien peut mieux déterminer dans quelle mesure les facteurs émotionnels contribuent aux difficultés persistantes et proposer des interventions psychologiques – stratégies cognitivo-comportementales, gestion du stress, psychothérapie – qui soutiendront le rétablissement.

En quoi consiste une évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa–Gatineau

Même si chaque évaluation est adaptée à la personne, les évaluations des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau suivent généralement une structure similaire.

Le processus débute habituellement par un dépistage pour vérifier que la clinique est en mesure d’évaluer la personne en toute sécurité et à un moment approprié. On recueille alors des informations de base sur la ou les blessures, les symptômes actuels, les antécédents médicaux (notamment les commotions ou troubles neurologiques antérieurs) et la situation scolaire, professionnelle et familiale.

Un premier rendez-vous est ensuite fixé pour un entretien clinique. Durant cette rencontre, le psychologue ou le neuropsychologue s’informe notamment de :

  • la façon dont la commotion ou le traumatisme est survenu (ou comment des impacts répétés se sont accumulés) ;
     

  • l’évolution des symptômes depuis l’événement jusqu’au moment de l’évaluation ;
     

  • l’histoire médicale, psychiatrique, développementale et scolaire antérieure ;
     

  • la médication actuelle, le sommeil, la douleur, la fatigue et le niveau d’activité ;
     

  • l’impact des symptômes sur la vie scolaire, professionnelle, familiale, sociale et sportive.
     

Lorsqu’approprié, un parent, un partenaire ou un autre proche peut être invité à fournir des informations complémentaires, surtout lorsque des changements au niveau du comportement, de la personnalité ou du fonctionnement quotidien sont préoccupants.

La partie tests neuropsychologiques est généralement réalisée en personne. Le clinicien aménage un environnement calme et structuré, puis choisit des tests adaptés à l’âge, aux symptômes et à l’endurance de la personne. Le rythme des séances est ajusté afin de limiter l’exacerbation des symptômes ; l’évaluation peut être répartie sur plusieurs rencontres si les maux de tête, la fatigue ou d’autres symptômes rendent les longues séances difficiles. Le clinicien porte attention non seulement aux réponses, mais aussi à la manière dont la personne aborde les tâches, tolère la demande cognitive et gère la frustration.

Après les tests, le psychologue ou neuropsychologue corrige et interprète les résultats en les comparant à des normes établies pour des personnes de profil similaire. Ces données sont intégrées aux informations médicales et, lorsque disponible, aux observations de l’école, du milieu de travail ou de la famille. Un rapport écrit est ensuite préparé ; il :

  • décrit les forces et les faiblesses cognitives en termes clairs ;
     

  • commente si le profil est compatible avec une évolution attendue, des effets post-commotionnels persistants ou une lésion cérébrale plus étendue ;
     

  • explique comment des facteurs émotionnels, tels que l’anxiété ou la dépression, peuvent influencer les symptômes ;
     

  • propose des recommandations concrètes pour les accommodements scolaires ou professionnels, les services de réadaptation et les stratégies à appliquer au quotidien.
     

Une rencontre de rétroaction est ensuite tenue afin de réviser les résultats en détail. C’est l’occasion pour la personne – et, au besoin, sa famille – de poser des questions, de clarifier les attentes quant au rétablissement et de discuter d’un plan d’action réaliste. Avec le consentement de la personne, le rapport peut être transmis aux médecins, aux équipes scolaires, aux employeurs, aux intervenants en réadaptation ou à d’autres professionnels impliqués, afin de favoriser des décisions cohérentes.

Comment l’évaluation soutient le rétablissement et le fonctionnement au quotidien

La valeur d’une évaluation des commotions cérébrales et des traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau se manifeste particulièrement lorsque des décisions doivent être prises au sujet du retour à l’école, au travail ou au sport. Lorsque le fonctionnement cognitif, l’état émotionnel et le profil de symptômes sont décrits en détail, les discussions passent de préoccupations générales à une planification plus spécifique et réaliste.

Pour les élèves et les étudiants, un rapport neuropsychologique peut aider les équipes scolaires à mieux comprendre le type de soutien nécessaire : allègement de la charge de travail, temps supplémentaire, environnement calme pour les examens, pauses durant les tâches exigeantes, outils d’aide à la prise de notes et à l’organisation, etc. Pour les adultes au travail, l’évaluation peut clarifier quels ajustements (retour graduel, réduction temporaire des heures, modifications des responsabilités, adaptation de l’environnement) sont susceptibles d’être utiles, et pour quelle durée approximative.

Lorsque les symptômes persistent depuis plusieurs mois, une évaluation complète peut également aider à mettre en évidence des domaines de force préservés. De nombreuses personnes ayant des difficultés post-commotionnelles conservent des capacités solides dans certains domaines ; construire les stratégies de réadaptation et les accommodements autour de ces forces peut réduire la frustration et améliorer le fonctionnement au quotidien.

De plus, comprendre le rôle de l’anxiété, de l’humeur, de la douleur et du sommeil facilite le ciblage d’interventions spécifiques, tant médicales que psychologiques. Reconnaître et traiter ces aspects ne signifie pas que la blessure est « uniquement psychologique » ; cela reflète plutôt le fait que les processus neurologiques et psychologiques interagissent, et qu’ignorer l’un ou l’autre peut ralentir le rétablissement.

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Évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa

À Ottawa, les évaluations neuropsychologiques et psychologiques centrées sur les commotions cérébrales, les traumatismes craniocérébraux légers (TCCL) et les lésions cérébrales acquises sont réalisées par des psychologues et neuropsychologues dont les domaines d’expertise incluent ces problématiques chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte. Ces cliniciens sont membres du College of Psychologists and Behaviour Analysts of Ontario (CPBAO).


Les personnes évaluées proviennent de l’ensemble de la ville et des secteurs environnants, y compris Kanata, Nepean, Orléans et certaines régions rurales. Certaines ont subi une seule commotion cérébrale liée au sport ; d’autres ont été blessées dans des accidents de la route, des chutes ou des incidents en milieu de travail. Plusieurs consultent après plusieurs commotions cérébrales ou dans le contexte de traumatismes craniocérébraux modérés ou graves.


De nombreuses personnes ont déjà consulté un médecin, un spécialiste en médecine du sport ou un service d’urgence avant l’évaluation neuropsychologique. Avec le consentement du client, le rapport peut être partagé avec ces professionnels afin de clarifier l’impact fonctionnel de la blessure et d’appuyer les décisions concernant le suivi médical, les services de réadaptation et le retour aux activités.
Certaines formes de suivi psychologique – par exemple, une thérapie axée sur l’anxiété, l’humeur ou l’adaptation à la blessure – peuvent parfois être offertes en mode virtuel aux résidents de l’Ontario lorsque cela est cliniquement approprié. La composante principale de l’évaluation neuropsychologique, toutefois, est habituellement réalisée en personne à Ottawa, afin de garantir la précision, la fiabilité et l’observation attentive durant l’évaluation.

Évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Gatineau et dans l’Outaouais

Du côté québécois, les enfants, adolescents et adultes de Gatineau et de la région de l’Outaouais peuvent avoir accès à des évaluations des commotions cérébrales, des traumatismes craniocérébraux et des lésions cérébrales acquises auprès de psychologues et neuropsychologues membres de l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ). Plusieurs de ces cliniciens travaillent en français, en anglais ou de manière bilingue, de sorte que l’évaluation de l’attention, de la mémoire et d’autres fonctions cognitives peut se faire dans la langue – ou la combinaison de langues – qui reflète le mieux le fonctionnement quotidien.


Comme de nombreuses personnes à Gatineau reçoivent des soins médicaux à la fois au Québec et en Ontario, un rapport neuropsychologique clair peut faciliter la coordination des soins entre les deux provinces. Il offre une description structurée des difficultés liées à la commotion ou à la lésion cérébrale, compréhensible pour les professionnels de la santé, les équipes-écoles, les assureurs et les services de réadaptation des deux côtés de la rivière des Outaouais.


Les recommandations issues d’une évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Gatineau sont adaptées aux ressources locales et à la situation particulière de chaque personne. Elles peuvent inclure des suggestions d’accommodements scolaires, d’ajustements au travail, de références en physiothérapie, en ergothérapie ou en d’autres services de réadaptation, ainsi que des stratégies pour structurer le retour graduel aux activités, gérer la fatigue et soutenir la reprise des rôles habituels. Lorsque les déplacements sont difficiles, des rencontres de suivi et un soutien psychologique pour la personne et sa famille peuvent parfois être offerts à distance, lorsque cela est cliniquement approprié.

Accès, références et couverture

Les demandes d’évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau proviennent de diverses sources. Certains clients sont encouragés par un médecin, un intervenant en réadaptation, un entraîneur ou une équipe-école à obtenir une évaluation cognitive et psychologique détaillée. D’autres sont référés par des membres de leur famille préoccupés par des difficultés qui persistent plusieurs mois après une blessure. Certaines personnes prennent elles-mêmes l’initiative de consulter lorsqu’elles constatent des difficultés soutenues de concentration, de mémoire ou d’endurance cognitive.


Lorsque vous communiquez avec la clinique, le personnel administratif peut aider à déterminer si une évaluation neuropsychologique et psychologique est appropriée à ce stade, et vous orienter vers un clinicien dont le champ de pratique inclut les commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux, dont le lieu de pratique (Ottawa ou Gatineau) et la langue de travail correspondent à vos besoins.


L’assurance maladie publique ne couvre pas les services psychologiques et neuropsychologiques. Cependant, de nombreux régimes d’assurances collectives et avantages sociaux offrent un remboursement partiel pour les services fournis par des psychologues et neuropsychologues autorisés à exercer. Les reçus remis comportent les informations habituellement requises pour les demandes de remboursement. Comme la couverture varie d’un régime à l’autre, il est recommandé de vérifier les détails de son assurance ou de contacter directement son assureur avant le début de l’évaluation.


L’évaluation neuropsychologique est également utilisée dans d’autres contextes, notamment pour la démence et les troubles neurocognitifs, les difficultés attentionnelles, les troubles d’apprentissage et d’autres conditions neurologiques. Des liens internes entre ces différentes pages sur votre site (par exemple entre l’évaluation des commotions cérébrales et l’évaluation de la démence ou du TDAH) aident les visiteurs – et les moteurs de recherche – à comprendre l’ensemble des services neuropsychologiques offerts dans la région d’Ottawa–Gatineau.

Prochaine étape à Ottawa–Gatineau

Si vous vivez à Ottawa ou à Gatineau et que vous êtes préoccupé par des symptômes après une commotion cérébrale, un traumatisme craniocérébral léger ou une autre lésion cérébrale, chez vous, chez votre enfant ou chez un proche, une évaluation neuropsychologique et psychologique structurée peut offrir un portrait plus clair de la situation et des options de soutien réalistes.


Pour amorcer le processus, vous pouvez remplir le formulaire de contact sécurisé sur le site Web de la clinique Belleisle en décrivant brièvement la blessure, les symptômes actuels, votre lieu de résidence et toute information médicale pertinente déjà connue. Le personnel administratif examinera ces informations et vous aidera à entrer en contact avec un psychologue ou un neuropsychologue dont le champ de pratique inclut l’évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux, et qui pourra vous recevoir à Ottawa ou à Gatineau.


APPEL À L’ACTION – Demander une évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa–Gatineau

Une évaluation complète de l’attention, de la mémoire et du fonctionnement cognitif, combinée à une évaluation psychologique approfondie, ne peut pas effacer la blessure, mais elle peut remplacer les incertitudes par une compréhension plus structurée de la manière dont la commotion ou la lésion cérébrale affecte la vie quotidienne. Pour de nombreuses personnes et familles de la région d’Ottawa–Gatineau, cette clarté devient la base d’un plan de rétablissement plus coordonné, plus humain et plus réaliste.

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Foire aux questions sur l’évaluation des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux à Ottawa et à Gatineau

COMMENT OBTENIR UNE ÉVALUATION APRÈS UNE COMMOTION CÉRÉBRALE OU UN TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL À OTTAWA OU À GATINEAU ?
Certaines personnes sont référées par un médecin, un professionnel de la réadaptation, un entraîneur ou une équipe-école. D’autres communiquent directement avec la clinique après avoir constaté des symptômes persistants à la suite d’une commotion cérébrale ou d’un traumatisme craniocérébral. Pour organiser une évaluation à Ottawa–Gatineau, il est possible de remplir le formulaire de contact sécurisé de la clinique, en précisant les préoccupations, l’historique de blessure et le lieu de résidence. Le personnel administratif pourra alors indiquer si une évaluation neuropsychologique et psychologique est indiquée à ce moment et orienter vers un clinicien dont la pratique inclut les commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux.


DES TESTS NEUROPSYCHOLOGIQUES POUR LA COMMOTION CÉRÉBRALE SONT-ILS DISPONIBLES À GATINEAU ET À OTTAWA ?
Oui. À Gatineau et dans l’Outaouais, et plus largement dans la région Ottawa–Gatineau, des psychologues et neuropsychologues membres de l’OPQ ou du CPBAO offrent des tests neuropsychologiques pour les commotions cérébrales, les traumatismes craniocérébraux légers et les lésions cérébrales acquises. Les évaluations peuvent souvent être réalisées en français, en anglais ou dans les deux langues, selon les besoins. Les rapports sont rédigés de manière à être compris et utilisés par les professionnels de la santé, les écoles, les assureurs et les équipes de réadaptation des deux côtés de la rivière des Outaouais.


FAUT-IL ATTENDRE UN CERTAIN TEMPS APRÈS UNE COMMOTION CÉRÉBRALE AVANT DE PASSER UNE ÉVALUATION ?
Le moment idéal dépend de la question clinique. Dans les jours et semaines qui suivent l’événement, la priorité est l’évaluation médicale et le suivi des symptômes. Une évaluation neuropsychologique complète est souvent plus utile lorsque les symptômes se prolongent au-delà de la phase aiguë, lorsque le rétablissement semble plus lent que prévu, ou lorsqu’il faut prendre des décisions concernant le retour à l’école, au travail ou au sport. Lorsque vous contactez la clinique, le personnel peut aider à déterminer si c’est le bon moment pour une évaluation approfondie ou s’il est préférable de continuer à observer l’évolution pour un certain temps.


UNE ÉVALUATION POUR COMMOTION CÉRÉBRALE OU TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL EST-ELLE COUVERTE PAR LES ASSURANCES ?
L’assurance maladie publique ne couvre généralement pas les services psychologiques ou neuropsychologiques, y compris les évaluations des commotions cérébrales et traumatismes craniocérébraux. De nombreux régimes d’assurances collectives et d’avantages sociaux offrent toutefois un remboursement partiel pour les consultations avec des psychologues et neuropsychologues autorisés. Les reçus fournis comportent les informations habituellement requises par les assureurs. Comme la couverture varie beaucoup d’un régime à l’autre, il est recommandé de vérifier ses protections ou de contacter son assureur avant le début de l’évaluation.


LES DIFFICULTÉS ÉMOTIONNELLES PEUVENT-ELLES AGGRAVER LES SYMPTÔMES POST-COMMOTIONNELS ?
Oui. L’anxiété, la dépression, les symptômes de stress post-traumatique et un niveau élevé de stress général peuvent augmenter l’intensité et la durée des symptômes physiques et cognitifs après une commotion cérébrale ou un traumatisme craniocérébral. Par exemple, l’anxiété peut accentuer la perception des malaises physiques, tandis que la dépression peut ralentir la pensée et réduire la motivation. Une évaluation neuropsychologique et psychologique complète est conçue pour tenir compte de ces influences, en examinant à la fois la performance cognitive et les facteurs émotionnels. Cela réduit le risque d’attribuer tous les symptômes uniquement à la blessure – ou, à l’inverse, de passer à côté de difficultés émotionnelles traitables chez une personne qui a également subi une lésion cérébrale.

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